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lovita/rtemisia

Le fil rouge de mes voyages réels ou imaginés et de ma vie de création, avec une ancienne rose rouge Lovita de Meilland, une rose belle et rebelle, comme moi, un travail artistique sur la mémoire, un hommage . Photographie et dessins quotidiens, haïkus. LovitARTémisia , les mots Love it Art et Artémisia, une femme artiste à la Renaissance. Toute reproduction ou représentation d'une oeuvre de Cécile Carpena doit être accompagnée des mentions suivantes : © Adagp, Paris, 2020 ADAGP Cécile Carpena.

ABUK, déesse africaine.

Dessin n°84. Princesse Abuk.

Dessin n°84. Princesse Abuk.

Abuk déesse africaine.

 

Ce matin comme une apparition d’une princesse noire qui a pris soin de moi, sous une douce pluie bienfaisante. Une occasion de vous livrer un haïku et quelques lignes de mon roman graphique à venir.

 

Crinière de lion

Danser sous l’eau

Pour ne pas penser au corps.

 

« Abuk est la première femme, qui a été élevée au statut divin dans la mythologie du peuple Dinka. Déesse des jardins et patronne des femmes,Abuk préside aux activités des femmes, en particulier la culture du mil. Elle est aussi la déesse des rivières et des cours d'eau, sources de la vie. Son emblème était un petit serpent. »

 

 

En l’an 3954, sur le continent africain, la température au sol étant devenue insupportable en atteignant des 50 à 60°, la survie ou la mort étaient le seul mot d’ordre, les chercheuses mathématiciennes africaines qui s’étaient il y a bien longtemps investies dans l’ombre pour  les calculs des programmes de la NASA, cherchèrent des solutions, non pour quitter ces terres  chaudes d’Afrique , mais pour y vivre encore, elles imaginèrent une cité souterraine  comme un vaisseau spatial enterré, pour mettre à l’abri toute la population, en aménageant dans les déserts  des bulles végétales, oasis cultivées, où cette civilisation pourrait continuer à se développer dans un maintien des traditions.

Mais dans le désert totalement métamorphosé, toutes traces du passé avaient été effacées, et leur savoir intuitif les attiraient vers un autre espace laissé encore relativement vierge en Asie, le désert de Gobi, où enfouis sous des tonnes de terre, des tombeaux avaient été conservés. Des manuscrits également avaient été protégés dans des cavernes et des bibliothèques, détenant les secrets des grottes aux mille bouddhas sur la Route de la Soie. C.C.

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